Retenue [ Libre ]

Andrew était en colle pour un raison très banale. Il avait été pris en dehors de sa chambre après 22h. Une petite envie de nicotine l'avait poussée à sortir. Il s'était pourtant fait discret en sortant, mais dans cet institut la surveillance est au top ! Bref au bout de 20 minutes dehors à prendre l'air et surtout à fumer, Andrew entendit quelqu'un arrivait. Il aurait put s'enfuir, c'est d'ailleurs la première idée qu'il eut. Mais lorsqu'il voulut partir de l'autre coté, une lampe de torche l'éclaira. Il fit mine de rien, comme s'il n'avait pas tenter de partir. Il fit attention à jeter son mégots bien loin et discrétement. Il risquait déjà une sanction pour sa petite escapade en dehors du dortoir... Une sanction suffisait ! Arrivé à sa hauteur, l'un des gardiens prononça son nom ironiquement, comme si Andrew était un habitué des petites sorties en douce. Hors ce n'était pas le cas, ou du moins il s'était encore jamais fait prendre. Ce soir là, la vieille, Andrew était resté plus longtemps qu'à son habitude, il avait observé le monde autour de lui, avait pensé à diverse choses : la raison de sa venue à l'institut, sa soeur, sa famille, la jolie Helena Ravenhood. Autant de chose qu 'il l'avaient plongé dans ses pensées et oublié que le monde continuer de tourné.
Enfin le voici, ici, en retenue, à copié ce fichu règlement. Lui qui déteste les réglements... Puis tout comme la veille, Andrew repartir dans ses pensées, continuant d'écrire tel une machine.

Ce jours, Andrew a 14 ans. Il est en cours de math, comme à son habitude, il comprend pas grand chose du cours, mais il s'en moque. Il est assis sur sa chaise, affalé sur sa chaise plutot.. Il joue avec son stylo, le fait glissé entre ses doigts. Par moment, celui-ci tombe, alors il en reprend un autre, pendant que son voisin lui ramasse le précédent. Le prof, en vient aux exercices, il interroge un élève, ou plutôt une élève. Une fille, qu'il ne connait pas, mais qui lui fait penser à sa soeur. C'est une élève modèle, rien n'a reprocher, elle écoute, participe... Mais ce jours la, elle n'a pas comprit ce qu'il faut faire. Le professeur ne put s'empecher de faire des remarques mal placer. Le genre de remarques qui fait rire tout le monde, sauf la personne à qui elles sont adresser. Celles à cause desquelles on souhaite avec impatiente la fin des cours et certainement s'isoler pour pleurer. Mais ce jours là, les remarques n'eurent pas le temps d'atteindre la jeune fille. Andrew s'était redressé, et commencait à insulter le professeur, qui lui ne se laissa pas parler ainsi. Le ton monta rapidement. Andrew s'était levé, il avançait vers le prof d'un air menaçant, la haine dans le regard. Les autres élèves autours, s'étaient éloigné dans la classe. Et au lieu de calmer la situation, le professeur commença à insulter Andrew de bon à rien. Le premier réflex de Andrew fut de foutre une droite au professeur, puis de le cogné. Comme celui-ci ne se défendait pas, Andrew s'arrêta rapidement de tapper. Mais sous l'énervement, il prit une chaise et la balança à travers la pièce, celle-ci passa à travers une fenêtre. Andrew sortit de la classe en claquant la porte. En rentrant, sa mère était assise dans le fauteuil, elle avait le visage humide, elle avait surement pleurer. En voyant Andrew rentrait, cigarette à la bouche, elle lui dit d'un air sévère :
« Ton lycée à appeler.. Mais qu'est ce qui t 'as pris bon sang ?! »

Andrew eut un sourire de coin, et cracha sa fumée.

« Un professeur, Andrew ! Tu te rends compte ?! Agresser ton professeur ?!! »

Il tourna la tête faisant mine de l'ignorait, puis la regarda de nouveau. Là son visage avait changé d'expression. Il était énervé :

« Il l'a mérité...»

Il monta les marches des escaliers, deux par deux. Il entendit sa mère qui se mettait à pleurer de nouveau.
Andrew avait été renvoyer. Il resta 10 jours a skoiter chez lui. Ou plutôt dans la rue avec ses potes. Mais un jours il rentra, tout le monde était là dans le salon. Réunion de famille ? Sa petite soeur avait les yeux rougies, il n'y préta pas trop attention. Et toujour avec son sourire malsaint il dit d'un ton ironique :

« Le lycée a encore apellé ? »

Ne voyant aucune réaction de leurs parts, il poursuivit, mais cette fois si sans son éternel sourire et sans se ton :

« Quoi ? t'a trouvé le chit ? La beuh ? »

Sa mère balança légèrement la tête de la gauche vers la droite. Andrew se tourna vers les escaliers, et là des valises, SES valises. Il sentit monté en lui la colère, il pivota vers sa famille et ne s'adressant qu'à sa mère :

« Vous me foutez dehors ?! »

celle-ci, avait les larmes aux yeux :

« Non mon chéri. Tu pars dès maintenant dans ton nouveau lycée. »

Il eut une vague de soulagement, il était pas mis à la porte. Mais bizarrement il eut un noeuds à l'estomac.Se fut son père qui chargea la voiture venue le chercher, aussi le premier qui lui dit aurevoir. Ensuite se fut au tour de sa mère, qui sanglota dans ses bras, comme si s'était un adieu. Mais ce fut sa soeur qui le bouleversa le plus. Andrew en eut les larmes aux yeux, mais par fierté, il resista à cette envie de pleurer. Quelques heures après, le temps lui avait parrut long, il fut arrivé à l'institut.

Andrew sortit de ses pensées, pour le derniers paragraphes, il avait appuyer plus fort sur son crayon, preuve que le sujet l'énerver encore. Puis son esprit voyagea de nouveau

L'institut, cet endroit si étrange, par ces élèves, mais si merveilleux aux yeux de Andrew. Il y avait rencontré une fille, pour laquelle il eut un coup de coeur, un coup de foudre même ! La jolie Helena Ravenhood... Il se rapellait de leurs rencontre comme si c'était hier :
Dans un couloir, il marchait, à la recherche de quelqu'un à emmerder. Et là, il aperçut sa prochaine victime. Il se mit pile sur son chemin et comme cette dernière, Helena, ne faisait pas attention où elle allait, elle lui rentra dedans.En premiers, Andrew avait juste l'intention de la faire chier, mais elle avait en sa possession quelquechose d'interresant : un ipod touch. Il lui barra son chemin, elle essaya de partir, mais n'ayant aucune issue, elle lui envoya une droite. Andrew fut tellement surpris d'une telle attitude qu'il ne l'a même pas esquiver. Andrew se dit qu'il l'avait bien cherché, et il n'était pas dans ses habitude de tapper sur une fille. Quelques heures après, la pro du crochet revient le voir et comme si elle voulait s'escuser, elle lui demanda

« Sa va ? »

Elle finit par se présenter à lui, et ils discutèrent un petit moment.

Quelqu'un entra dans la salle de retenue, non pas un surveillant. La venue de la personne tira Andrew de ses pensées. Ces dernières l'avait calmées. Il était même content, le sourire aux lèvres.